Alors que l’Etat d’Israël affame et bombarde des civils dans
le territoire de Gaza.
Madame Marine le Pen, en dehors de toute morale, sans aucune empathie pour des civils massacrés à coup de bombe d’une tonne et seulement soucieuse de décrocher la timbale ( la présidence de la République), son unique obsession, … déclare …
Invitée jeudi soir de la chaîne I24NEWS, la triple
candidate à l’élection présidentielle a jugé que l’État juif «fait ce qu’il
peut dans une situation extrêmement difficile», et affirmé «partager
l’objectif» d’Israël d’«éradiquer le Hamas». Une position diamétralement
opposée à celle d’Emmanuel Macron, qui a qualifié, mardi soir sur TF1, la
stratégie militaire israélienne à Gaza de «honte» et d’«inacceptable», allant
jusqu’à envisager une révision des «accords de coopération» entre l’Union
européenne et Tel-Aviv. Dès le lendemain, ces critiques ont fait bondir
Benyamin Netanyahou, qui a accusé le président de la République de s’aligner
sur une «organisation terroriste islamiste meurtrière» et d’en «relayer la
propagande ignoble».
Une condamnation sans équivoque que partage Marine Le
Pen. «Cette déclaration (d’Emmanuel Macron, NDLR) est indigne mais elle ne
m’étonne pas : il ne cesse de multiplier les critiques à l’égard d’Israël parce
qu’en réalité il est incapable d’apporter une solution pour lutter contre le
fondamentalisme islamiste», a grincé l’élue du Pas-de-Calais, soulignant que le
chef de l’État «fait le grand écart» à cet égard. «Il dit qu’il lutte contre le
fondamentalisme islamiste mais il reçoit (à l’Élysée) avec tous les honneurs
Ahmed al-Charaa (le nouveau président syrien, NDLR)», a-t-elle ironisé une
semaine après la visite très décriée de l’ancien djihadiste au palais
présidentiel.
À mille lieues de la position du chef de l’État qu’elle
décrit comme une «catastrophe diplomatique», Marine Le Pen pense qu’il devrait
plutôt apporter à Israël «une aide, des solutions dans cette guerre qui nous
concerne tous car nous avons le même ennemi».
lefigaro.fr/propos de madame Le Pen
Madame Le Pen inverse la notion d’indignité … en effet dénoncer
un massacre est digne, soutenir un massacre est indigne !
Cette dame devient de plus en plus répugnante.