Manuel Valls est égal à lui même, irascible et mauvais
perdant.
Par l’intermédiaire de son homme de main, le bouledogue
Jean-Marie Le Guen, il attaque le vainqueur de la Primaire de la Gauche, Benoît
Hamon.
Non content d’avoir foutu le bordel dans le pays pendant son
mandat de Premier Ministre (Loi Travail...49-3), Valls a décidé maintenant, de
saborder la campagne électorale du PS et parle déjà de recomposition de la
Gauche.
Valls vise désormais l’échéance 2022.
Benoît Hamon, s’il veut rester en compétition, doit utiliser
son réel talent d’orateur pour convaincre le plus grand nombre d’électeurs
possible (et non pas les leaders des partis qui vont le mener en bateau), du bien fondé de sa candidature.