En novembre 2014, le Front national reconnaissait avoir reçu un prêt de
9,8 millions de dollars d'une banque russe liée au Kremlin.
En février 2016, le FN demandait à la Russie un prêt de 30 millions de
dollars pour financer sa campagne présidentielle 2017.
En mai, Marine Le Pen déclarait dans une interview qu'en cas de victoire
à l'élection présidentielle, elle reconnaîtrait la Crimée comme faisant partie
du territoire russe.
Cette compromission aveugle de Mme Le Pen ajoutée à ses positions
anti-européennes ont de quoi inquiéter.